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j’accepte les critiques constructives faites avec courtoisie, même si elles font mal à l’ego.

En ce petit village du bergeracois, d’étranges phénomènes se sont déroulés devant témoins cet après-midi-là.

En seulement une heure, dans une simple salle, sur une table ordinaire, voici ce que j’ai vu :

 

 

« Cogito ergo sum » (UTL)

Cela faisait neuf mois déjà que je me posais des questions :

PLIEZ MES FRERES

 

Dans une fête foraine

Qui sentait bon la cohue,

Je vis des gens par centaine

Agenouillés dans la rue.

Et l’homme leur promettait

De leur montrer des beautés

Mais avant tout il fallait

Contrainte : d’après le film Inspiré de l’histoire vraie de William Kamkwamba et adapté de son roman.

Tout bébé, Alizé souriait à la caresse du vent sur ses joues rebondies.

Ne demande pas ton chemin

 

Tu risquerais de n’ pas te perdre

Ne t’accroche pas à ma main

Fais ta route loin des frontières.

Ne te retourne pas,

Regarde tout au loin,

Fais toi-même tes pas,

Contraintes : ICI ( sur un tableau de Julie Dourlent, avec son aimable autorisation )

 

 

Illustration: 

SILENCE

DO RE MI FA SOL LA SI DO

 

Chantez-moi vos silences

Quand vos soupirs m’enchantent

Tu passais là où j’attendais

Un homme t’avait regardée

J’ai dit un mot qui te plaisait

Tu as dit oui sans hésiter

Un air gêné

L’acte charnel

Un cri rentré

Un arc-en-ciel

 

À Tiboonda

Un pays sans foi

Et sans prières,

Et Dieu sur son sillon

Courbe la tête.

Un pays sans loi

Qui sent la terre

Le vieux, de son bâton,

Chasse la bête.

 

          À Tiboonda

          À l’orée d’un monde nouveau

          À Tiboonda

          Le cœur se chauffe au brasero