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j’accepte les critiques constructives faites avec courtoisie, même si elles font mal à l’ego.

L'une des préfaces du recueil "Qu'importe".

 

Démêlées, parfois, les rides sont jolies

 

La parenté de mots me provoque souvent jusqu'aux équivoques.

Distillations,  produites d’une alchimie de l’intérieur.

Imbues, peut-être, d'apparence, mais si j'ose et les écris ?

Cette impudeur, cela se fait-il ?

 

"Cela" devient un face à l'autre

 

Quitter la nuit. Les yeux ouverts.

 

Le soleil émerge de son bac de vide.

Jets d’échardes au travers des volets fermés.

 

Un rouge-gorge va se fracasser

Ce matin, tôt, sur la vitre.

 

Je me traque.

Creux d’une question.

"Rien ?"

 

Tout existe, sans plus.

L'éphémère butineuse,
Boit d'androgynes rieuses
Aux ailes malicieuses,
Légère comme voleuse.

 

Dame Lectoure était désespérée ; sa ville, Ed-Nat, était assiégée depuis bientôt un mois. Elle s’était levée matinet pour consulter son Bailli, maître Alban Benedictus Cédaire. D’habitude pourtant fort gaillard, il n’était pas ce jourd’hui plus optimiste qu’elle.

Arcano è tutto, fuor che il nostro dolor. Tout est obscur, sauf notre douleur. Giacomo Leopardi, Ultimo canto di Saffo.

 

Texte inspiré du téléfilm "Fais danser la poussière" réalisé par Christian Faure (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fais_danser_la_poussière).

Un deux trois

Texte inspiré du téléfilm "Fais danser la poussière" réalisé par Christian Faure (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fais_danser_la_poussière).

Sujet proposé par La Poussière - Variation autour de la phrase extraite du livre de Véronique Ovaldé « La grâce des brigands » :

La porte a claqué. La violence des cris, les reproches, les mots durs restent accrochés dans son esprit et traînent dans la pièce comme un nuage d’orage.

Sujet proposé par La Poussière - Variation autour de la phrase extraite du livre de Véronique Ovaldé « La grâce des brigands » :