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Néo classique - Poésie

Le miracle est peut-être la fin du mirage

Quand le cours de la vie prend un nouveau virage,

Par des soins intensifs savamment contrôlés,

Des effets de technique appliqués, dévoilés.

 

Le rêve inaccessible en l’espoir utopique

De tendre mes deux bras dans la même réplique,

Pas tout à fait égaux dans la réalité,

Enfin s’est révélé dans sa simplicité.

 

Il suffisait de foi, d’éclat d’un beau sourire,

D’un regard chaleureux, aimant, qui voulait dire,

Souvent je pense à vous, à votre fière allure
Lorsque vous arpentiez les rues de ma cité,
J’admirais votre allant, votre légèreté,
Votre élégance aussi, toujours dans la mesure…

 

 

Nous avons fait ensemble un très lointain voyage,
La chaleur m’obligeait à vite vous quitter
Pour bien d’autres plaisirs et pour m’acclimater,
Trouvant au changement un réel avantage…

 

 

Le combat se poursuit, l’effort est soutenu

Pour vaincre le fléau, la constante bataille,

Un nouveau traitement, alors, est parvenu

À secouer la peur qui soudain vous tenaille…

 

Bien se soigner chez soi, l’agrément primordial,

En absorbant cachets, gélules à l’horaire

        C’est à toi que je dois ce supplément d’ennui
        Dis, quand cesseras-tu, avec le temps qui fuit,
        Ô crabe détesté, de grignoter mon être,
        Tantôt présent par ci, tantôt ailleurs peut-être ?

 

(MARCHE à PARIS du 11 janvier 2015)

 

Oui, LA FRANCE a vécu les heures singulières

D’un élan passionnel appelé Liberté,

 

Dans les rêves fervents des pâles couventines

Promenant leur dimanche, en se donnant la main,