Quel mélange de choses ou de faits hétéroclites ! Je me suis parfois perdu parmi toutes ces intrigues et la multiplicité des personnages. Lecteurs, prenez des notes ! Les noms surtout… Un petit aperçu : Jonas Palsson (commissaire), Olafur Gislikrist Jansson (flic), Guffi (Journaliste : J), Heida (J), Joa (J), Kristin (mariée à Saga, suicidée), Eyvindur Markusson (suicidé ?), Onundur Snaer (beau-frère de Saga), Saga (épouse de Kristin), Asbjörn (J), Hannes (J, chef de la rédaction), Einar (J), Gunnsa (J, photographe, fille de Einar), Smari Pall Karason (politicien : PS), Sigurdur Reynir (politicien : PS), Svein Bjarnir, Heimir Bjarnfells Helgason (financier, milliardaire), Jorun Sjöfn et Sigurvin (parents de Kristin), Jon Zakarias (patron de restaurant), Jonasson (directeur d’une chaîne de restaurants), Thorkatla Gounsa, Sigurbjörg Bjönsdottir (J), Guffi (J financier), Hermann Gufinnsson (directeur général du Journal du soir), Sigrun Gyda (secrétaire) etc. Je ne garantis pas toutes les orthographes.
Quant aux intrigues, à vous de les « désintriquer ». Je ne saurais toutes vous les décrire (suicide assisté par ordinateur [ou crime], ragots, intrigues politiques et journalistiques, manipulations, pots-de-vin, intérêts personnels… Elles ne sont pas trépidantes et ne sont que prétextes pour dresser l’état des lieux d’une Islande plongée, par la crise de la dette de 2008, dans le chaos politique, financier, social, identitaire, avec pour épilogue le renflouement des banques au détriment des populations. Il s’agit donc plus d’un roman de critique sociale habillé d’un costard de polar… Mais qui mérite d’être lu.
Sur la médiathèque numérique de Dordogne : L'ombre des chats