Les chiens de Pasvik : Vous aimez les rennes, la Finlande, le lichen, les Samis et les joiks, la toundra russe, la police des rennes… Un roman à lire l’été ou sous la couette. Vous en sortirez vivifié. Allez ! soyez gloutons, lisez les trois précédents : « Le dernier Lapon, Le détroit du loup, La montagne rouge ».
Vous pouvez lire ces livres sur le site de la médiathèque numérique de Dordogne : ICI
Idem pour les autres : cliquez sur les liens ci-dessus ( vous devez auparavant vous inscrire ).
Résumé :
Ruoššabáhkat, « chaleur russe », c’est comme ça qu’on appelait ce vent-là. Ruoššabáhkat, c’est un peu l’histoire de la vie de Piera, éleveur de rennes sami dans la vallée de Pasvik, sur les rives de l’océan Arctique. Mystérieuse langue de terre qui s’écoule le long de la rivière frontière, entre Norvège et Russie. Deux mondes s’y sont affrontés dans la guerre, maintenant ils s’observent, s’épient. La frontière ? Une invention d’humains. Des rennes norvégiens passent côté russe. C’est l’incident diplomatique. Police des rennes, gardes-frontières du FSB, le grand jeu. Qui dérape. Alors surgissent les chiens de Pasvik.
Mafieux russes, petits trafiquants, douaniers suspects, éleveurs Samis nostalgiques, politiciens sans scrupules, adolescentes insupportables et chiens perdus se croisent dans cette quatrième enquête de la police des rennes. Elle marque les retrouvailles — mouvementées — de Klemet et Nina aux confins de la Laponie, là où l’odeur des pâturages perdus donne le vertige.
Olivier Truc nous raconte le pays sami avec un talent irrésistible. Il sait nous séduire avec ses personnages complexes et sympathiques. Et, comme dans Le Dernier Lapon et La Montagne rouge, il nous emmène à travers des paysages somptueusement glacés.