Commentaires
Ton commentaire me touche beaucoup Barzoï. Merci.
Ce télescopage avec la chanson de Moustaki me bouleverse.
Je ne la connaissais pas et je vais m'empresser d'aller l'écouter.
Merci Tanou.
La vérité? À chacun la sienne…
Pas étonnée que tu sois l’auteur Plume, J’ai vêcu à Nice de six à vingt ans, le quartier qui à été touché est celui de mon enfance, de mon adolescence, mon Nice à moi. Quand j’ai lu ton poème j’étais sur cette promenade des Anglais devant la baie, j’ai trouvé comme toujours chez toi une authenticité de ton subjuguante ent deux secondes j’étais là-bas, la plante de mes pieds sur le macadam rouge, l’oxygène bourré d’iode plein les narines et puis l’horreur et j’étais la et en te lisant j’entendais cette fabuleuse chanson de Moustaki que j’écoutais beaucoup à l’époque et parfois encore maintenant.
Dans ce bassin où jouent des enfants aux yeux noirs
Il y a trois continents et des siècles d’histoire
Des prophètes des dieux, le messie en personne
Il y a un bel été qui ne craint pas l’automne
En méditerranée
Il y a des oliviers qui m’eurent sous les bombes
Là où est apparue la première colombe, etc..
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La chanson s’appelle en Méditerranée. J’ai failli répondre à ton poème par la chanson en entier quel dialogue...
Merci pour Nice et merci pour la résurgence.
Merci à l'auteur.
Le ciel
Les étoiles
Les anges
L'enfer
Les larmes
Où est la vérité ?